Une semaine à Madère

C’est avec joie que lors de mes vacances j’ai pu visiter cette belle île de Madère. Et quelle semaine!

Après deux heures trente d’avion en départ de Nantes, me voici arrivée à Funchal, la capitale pour rejoindre Calheta, cette petite ville côtière où je pose mes valises pour quelques jours.

Quelle joie de retrouver de chaudes températures et du soleil après les deux semaines pluvieuses et grisâtres que l’on vient de passer. Mais le temps est particulier là-bas: alternance de pluie et de soleil toutes les deux heures, tout en conservant ce fond de l’air chaud et doux: il faut être réactif!

J’ai la joie de loger dans un fabuleux hôtel (dont je vous parlerais dans un prochain article) avec vue sur la mer près d’un petit port où le goût des choses simples saura satisfaire mon palais tout le long de mon séjour. Au programme de cette semaine: farniente, découverte des lieux, massages, spa, et promenade en bateau avec les dauphins! Un régal.

L’île observe ce contraste de paysage que j’aime tant: les montagnes au loin avec leur sommet caché par la brume et la côte ensoleillée, tout ceci dans le même paysage. Lorsque l’on se balade dans les petites routes autour, on découvre des plantation de bananier en terrasse, des petites maisons si typiques avec leurs toits de tuiles rouges, et cette végétation luxuriante.

La visite de Flunchal , la capitale, nous rappelle que nous sommes sur une île, avec sa tranquillité mais aussi certaines difficultés dans l’acheminement de produits et la rareté des commerces. Cependant, cette balade en funiculaire pour rejoindre les hauteurs et la visite du jardin botanique me rappellent que la simple vue de ce paysage magnifique suffit parfois amplement!

Enfin, cette petite larme que j’ai eu, lors de cette balade en bateau (plus que houleuse) en apercevant plusieurs familles de dauphins nager à côté de moi.

Une superbe semaine donc, à la découverte d’autres sens, d’autres cultures, dans une île très accueillante par ses habitants, ce temps radieux et ce paysage à couper le souffle. Et vous, connaissez-vous Madère?