Festival du féminin à Rennes – 2016
Il me fallait un peu de temps pour redescendre et vous parler correctement de ce weekend passé. Nous étions réunies pour faire la première session du Festival du Féminin à Rennes, au cours duquel je prodiguais des massages Amma-assis pour le plaisir de certaines.
Au-delà de l’accomplissement de mon travail, j’ai eu la chance de participer à cette ambiance et à certains ateliers qui m’ont plutôt bouleversés. Entre câlins, larmes, discussions, chants, tambours, et partages surtout, le festival est avant tout une aventure, pour soi et autour de soi. Une énergie commune, tournée sur l’ouverture et l’intériorisation de nous, les femmes, dans leurs pouvoirs de mère, de professionnelles, d’amantes et de tout ce qui constitue notre essence profonde.
Crédit photo: page facebook du Festival du Féminin
Autour de tables rondes, d’ateliers, de repas, de massages, de mandalas, de danse, le festival est comme une grande fête de famille, car autant dans le don de chaque participante que la réception et l’échange avec les festivalières, il y a un lien qui se créé, à travers le monde aussi, tellement bien symbolisé par ce fil rouge.
Crédit photo: page facebook du Festival du Féminin
Pour ma part, ce festival est arrivé à point nommé, pour me faire retrouver cette force primaire, cette connexion avec la terre, dans son point le plus brut. A base de tambours et de chants amérindien, j’ai pu revivre cette connexion qui se rapprochait de plus en plus de moi, et en suit transformée.
Merci donc à Yvelines HÉRONT-BAUBAU pour m’avoir fait confiance, à Gaëlle pour avoir pensé à moi et pour nos conversations, à Anaïs pour m’avoir accompagné tout le weekend et pour cette si belle complicité, à Karine pour nos échanges et nos rencontres, à Fabienne pour sa douceur, à Gaëlle pour sa joie de vivre, à Anne le Merdy pour son si bel atelier, et à toutes celles qui ont croisé mon chemin ce weekend, de près ou de loin pour en faire ce qu’il a été. Et un merci tout spécial à ma chienne, qui n’était pas au festival mais qui m’a servie de gardienne féminine, et à la fois totem.
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